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 Voyageur [PNJ]

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Ergas-Malastès



Roi de Xalandra


Ergas-Malastès


Carnet de voyage
PV PV:
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PM PM:
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Voyageur [PNJ] Vide

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MessageSujet: Voyageur [PNJ]   Voyageur [PNJ] I_icon_minitimeDim 29 Aoû - 2:51
Ayôner
......est ma fonction


    Nom:de Xalandra
    Prénom:Satradel
    surnom:Voilà des années que personne ne se risque plus à appeler Satradel par un autre nom que le sien pour ceux qui le connaisse.
    Race: Mi-elfe, Mi-dragon bien que les caractéristique draconiques semblent l'avoir emportée .
    Age:un age certain, que moi-même ne connais pas.
    Classe: Vagabond
    Element:A de très bonne affinité avec les plantes

    Titre:Roi déchu


    Histoire Générale
    :Je n’ai pas grandi dans la peur, malgré que ma naissance soit du jour de la folie meurtrière contre les dragons, considérés comme de sales ordures. Je ne me souviens pas de mes premières années, mais je revois les massifs de fleurs des jardins du manoir.

    Mauvaise herbe, mauvaise herbe.

    Voilà ce qu'on disait de moi.
    Une aberration dans la si parfaite végétation familiale. Dragon et Nain... Mes faux frères me le serinaient sans cesse.

    Qu’importe, je n’avais que faire de leurs jeux violents, de leurs farces et de leurs mensonges, qui déclenchaient sur moi le courroux des adultes. Je connaissais les chemins pour gagner le jardin, j’escaladais l’écurie, concurrençant le lierre qui dévorait les murs. De là, j’appris à épier les jeux des filles et bien vite, mes fausses sœurs m’accueillirent avec curiosité, mon étrange apparence n’était ni plus ni moins singulière que mon statut de mâle.

    Trop jeune pour porter atteintes aux bonnes mœurs, de cible je devins conspirateur, convaincant les plus naïves que nous autres, Elfes, naissions avec des cheveux de sang et des yeux soleil, de telle sorte qu’à mes quinze ans, disais-je avec toute l’assurance de mes sept ans, je serais aussi blond que mes aînés. Et elles me croyaient, les pauvrettes, au bonheur de leurs aînées, et ne cessaient de me maudire, joues écarlates, quand elle faisait la risée du domaine.

    Les choses auraient pu en rester là, mais mes faux frères jasèrent. Né d’un sang trop faible pour donner un mâle digne de ce nom d'après les dires, il fallait de toute évidence qu’on m’élevât avec les filles. Je jure n'avoir pas souhaité ce qui advint alors, au nom de ce père que j’ai tant rêvé de connaître – qui était-il pour avoir su amadouer la lionne ? L’on dit que les contraires s’attirent, alors aurait-il apporté cet équilibre que je ne devais jamais trouver ? Mes rêves depuis longtemps créent des chimères qui ne suffisent à combler le gouffre de son absence.

    Tout aurait pu s’arrêter là. Je n’ai fait que conter ma détresses que les mots avaient taillé trop profondément dans ma chair. Les larmes m’étaient venus et je me haïssais, de n’être pas celui qu’on attendait de moi. Trop faible, peut-être avaient-ils raison. L’amertume, m’a fait répété les mots. Je n’avais d’autres confidentes que les fleurs altières des parterres. Je n’ai vu que trop tard le regard outré de mère, plus furieux que scandalisé. Flammes dévorantes, vous eussiez brûlé jusqu'à mes fleurs chéries! Pourtant, je n'osais songer au pire.

    Trois meurtres suivirent. On exigea réparation, on trépigna, on nous menaça, moi, ma mère, mes fausses sœurs. On menaça d’exiger la justice du roi et l’une des victimes reparut. Salement amochée, yeux hagards, terrorisée. Je ne sais ce qu’il était advenu des deux autres, mais le silence se fit et il ne fut plus jamais question de cela. On m’arracha à la compagnie de mes fausses sœurs, avec l’excuse que je gagnais de l’âge, mais j’avais déjà appris à deviner qui donnait les ordres et qui s’inclinait, assez bien pour reconnaître l’autorité de mère.

    Avez-vous tué l’un de vos propres enfants ? Quel monstre êtes-vous mère ? Qui était mon père ?

    Les fleurs m’ont répondu dans le murmure du vent. Le chant de leurs pétales a comblé le vide dans ma poitrine. D'autres ont un coeur pour aimer, à en croire les contes. La solitude pour lot, les livres pour abîmes, je m’égarais des jours durant, entre lecture et leçons, entre jardins et devoirs. J’interrogeais les gens de passage, évitant les serviteurs qui risquaient de le rapporter à mère.

    Qui était-il ? J’avais encore la candeur du jeune âge, peut-être même pressentais-je que se glissait la ma dernière chance.
    Dites-moi, dites-moi, camériste ou grande dame, colporteur ou maquignon, qui était-il, qui était-il ? Avez-vous connu mon père ?

    C’est ainsi que je rencontrai Disraï.

    Cousin lointain de ma mère, Elfe, bien bâti, un charme indéniable pour ce qu’en disaient les belles dames en pouffant derrière leurs éventails de soie. Un rictus arrogant aux lèvres, me perforant de ses yeux mielleux, pourtant aussi redoutables que les flammes de mère, il me glissa à l’oreille, feignant de me saluer :
    « Un ivrogne de Xalandra en quête d’une maison de passe, qui aurait frappé dans la mauvaise rue. »

    Disraï.
    Je l’ai haï dès le premier regard. Avant même qu’il eut proféré ces paroles sacrilèges, je le détestais presque viscéralement.

    Je ne voulais pas déplaire à Mère, aussi ne devait-il apprendre que bien plus tard, l’intensité réelle de ma haine tant le maudire relevait d’une hypocrisie innée chez moi, un héritage maternel, très certainement.

    Il n’eut jamais garçon de maison plus appliqué que moi. Je le servais à la moindre occasion, mais j’avais déjà acquis quelques savoirs en plantes, ainsi, à mesure qu’il se rapprocha de ma mère, il se familiarisa avec les latrines du domaine. Quand les fleurs vinrent à manquer, je cherchai d’autres remèdes à mon amertume grandissante.

    Les couloirs se peuplaient de chuchotement et de sourires goguenards. Les paris fusaient, monnayant la vertu de ma mère. J’aurais tué, je suppose, si j’avais eu les facilités de Laÿda et son inconscience, mais je me battais avec les armes auxquelles pouvait prétendre un jeune adolescent poussé dans ses derniers retranchements. Je redoutais d’attenter à ses jours, j’avais trop peur d’échouer, et qu’il put encore me nuire, avant de ramper dans la tombe.

    Des mois durant, Disraï devrait se demander pourquoi sa lavandière confondait l’eau du ru avec la litière des chevaux, pourquoi le pain qu’on donnait dans la maisonnée lui parvenait toujours moisi, pourquoi les chats piaillaient invariablement sous ses fenêtres, quelque soit la chambre qu’on lui attribuât, pourquoi les escaliers qu’il empruntait s’avéraient toujours savonnés à foison. Pas davantage qu’il ne devait identifier la provenance de ces mots doux soi-disant de sa main que des dames furieuses lui jetaient au visage, l’une d’entre elle alla jusqu’à lui parler d’un mariage auquel il aurait consenti mais qu’il déshonorait d’avance par sa conduite avec ma mère.
    Je jubilais.

    Mais je m'égare. Là n'est pas ma particularité car il arriva un jour où Disraï s'aperçu de ce qui le tourmentait et je fus premier à être accusé, pas à tort pour une fois. Je me souviens des flammes qui embrasèrent mère, elle aurait pu, cette fois, enflammer jusqu'au plus infime recoin du Continent mais rien n'en fut, j'étais l'unique cible de son courroux.
    Mère, on parlait quelques fois dans votre dos, disant que vous pourriez tuer vos enfants, j'en avais douté, mal m'en avais pris car aujourd'hui, me voir renaître me semble ubuesque mais après tout, la faute était mienne.
    Ce que j'ignorai alors, c'était que cette vie n'était la que la première parmi huit autres.

    Recemment, j'ai exécuté un rituel connu sous le nom de Pactio et ainsi me suis lié à Shaoleeh. Elle ne parle que très peu mais elle a les couleurs de la nature, celles qui valent mieux que des phrases. ..

    Caractère Général : Je n’ai pas hérité des plumes de la colombe, mais je sais les rumeurs. Ne suis-je point la lune et son reflet ? Loin de la gloriole des astres, cette présence éthérée et austère qui s’éclipse au point du jour, sans qu’on sache jamais si elle disparaît ou demeure et se noie dans l’indifférence générale ? Ils se plaisent à me voir tel un halo de lumière, m’ignorer en plein jour leur semble alors moins… coupable ?
    Je n’ai jamais cherché à me lier à quiconque. Quelques rares que soient mes amis, ils me prétendent de compagnie facile. Pour peu qu’on s’acclimate à mon caractère, qu’ils disent allègrement... Lunatique, solitaire ou que sais-je. J’ai conscience, que répandre de par le monde la douce mélancolie qui m’habite irrite, telle une mélodie lascive et entêtante qu’il est plus aisé de fredonner du bout des lèvres que de condamner à l’oubli. Mais c’est là ma nature, et je ne suis point maître des humeurs qui m’habitent. Et j’ose à croire qu’il en est ainsi pour vous, les flammes qui vous consument ne sont pas de votre fait.

    Soyez le brasier, non l’incendiaire. Comprenez qu’il me faille savoir, qu’il…

    Je suis lucide. Qu’il est aisé de me qualifier de fou et de fantasque ! Peut-être ai-je manqué mon époque, peut-être damnez-vous mon regard décadent. Sans jamais fixer le ciel, mes pas me portent vers l’horizon, riche de ces seules certitudes que le monde impose. Je mourrai, mère. Et nos terres resteront maudites.
    Je me moque bien de la décadence des énergies. Maudissez-moi pour cela, mais qu’elles grillent et périssent, qu’elles me brûlent les orteils et je ne me baisserai pas. Pas même un regard, entendez-moi. Je ne suis pas aveugle, je ne suis plus que l’ombre fallacieuse de ce que j’étais, et l’innocence vacillante qui me vit croître sous votre tutelle n’a pas su résister aux sanglots des ans.
    Je n’ai pas vu les corps, ne fustigez pas vos complices. Mais j’ai vu l’échiquier sur lequel je me tiens, et la route est si longue pour s’en dérober – une case à la fois, rien qu’une case à la foi - … Et au bout, quoi? La royauté ? Me croyez-vous si naïf?
    Je ne goûte pas aux vices si chers et si délétères à mes semblables. Non pas ceux de la chair, car il n’est pas de crime dans des plaisirs partagés. Mais l’ambition… Elle dévore le cœur des fous. Peut-être est-ce pour cela que vous laissez ce beau monde me qualifier de dément, en attendant, qui sait, que ce serpent me morde et distille son venin…


    Physique Général :Regardez dans le miroir. Non ?

    Trop tard. Le rideau tombe, mais je suis dit-on de ces plantes qui fleurissent dans la pénombre et profitent de la nuit pour dévoiler leurs charmes. Ainsi va le monde, de la beauté cachée des bourgeons à la copulation des étamines frémissantes, et je suis pour ma part le fruit d’une bien étrange union. Qui suis-je sinon une ancolie, né couronné de corolles insolentes, yeux et chevelure du même rouge improbable ?

    Signe Particulier :Quelques bijoux et un symbole sang sur la joue.
    Style vestimentaire : Des vêtements simples et peu couvrant, mais généralement associés d'une armure légère
    Taille :1m65
    Poids : 58 Kg
    Images : (Facultatif)


    Arme en sa possession : quelques fioles de poisons, un coupe papier plutôt tranchant. (Bien qu’il se défende d’y voir une arme.)
    Armure en sa possession : Armure dragonique
    Quelques attaques de magie :Beaucoup de sorts divers et variés
    Animaux de compagnie :Aucuns


    Point de vie et points de magie:
    Point de vie:
    585
    Points de magie:
    763

    En inscrivant oui ici vous vous engagez à respecter le règlement: oui

    Nom de l'artiste qui a réalisé votre avatar.: Adeovski
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